Les Tests

Hewlett-Packard

En 1970 Franck Dorland obtient la permission de Anna Mitchell-Hedges, certaine de son authenticité, de soumettre le crâne à des tests effectués dans les laboratoires de Hewlett-Packard, à Santa Clara, en Californie. C'est à cette époque l'un des principaux constructeurs mondiaux d'ordinateurs et autre matériel électronique qui possède un laboratoire en cristallographie.

Après 6 mois de tests  ils conclurent : "Nos scientifiques ne peuvent expliquer comment de tels objets auraient pu être sculptés par des civilisations anciennes sans nos outils d’aujourd’hui"

Les résultats des test :

• En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain.
• Il pèse 5 kg.
• Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure.
• Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes : éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites ; frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense (susceptible de mettre le feu) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.
• Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope (Grande stabilité physique, chimique et thermique. Il possède une polarité, réagit à la lumière et à l'électricité, directe ou par pression physique, son axe piézo-électrique est vertical et ses propriétés sont différentes dans chaque direction ; matériau utilisé comme oscillateur ou résonateur en électronique et en informatique !)
• Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche. (Selon son axe de symétrie moléculaire, ce qui lui confère ces étonnantes propriétés optiques. (Hasard ?))
• Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque. On suppose que les sculpteurs ont méticuleusement et lentement poli l'objet à la main avec un mélange de sable de rivière et d'eau, à partir d'un gros bloc anguleux de cristal de roche d'environ 3 fois sa taille. En supposant cela, il aurait fallu plusieurs générations d'ouvriers, l'estimation avancée est de 300 ans.

Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur (avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile.



Un chercheur de l'équipe aurait déclaré : "Ce sacré truc ne devrait même pas exister !"

L'ENQUÊTE DU BRITISH MUSEUM

C'est en 1996 que deux journalistes de la BBC demandent au British Muséum de réaliser des tests sur les crânes de cristal dans le but de dater la fabrication de ces artefacts.

Le British Museum prépare ces analyses pendant de longs mois pour faire venir plusieurs crânes de différents pays et ainsi avoir une étude la plus fiable possible. Le musée prend en charge la venue des différents propriétaires pour une semaine : avion, hôtels, restaurants, taxis… Font partie de cette expertise, trois crânes appartenant à des musées : Londres, Paris et Washington et trois crânes appartenant à des privés : Max, Sha Na Ra et le crâne à la croix reliquaire.

La datation du carbone n’étant pas possible sur le cristal de roche, il faut donc étudier le procédé de fabrication, en effectuant une datation de la technologie. Un gobelet de cristal daté d'au moins 500 ans av. J.C., et un petit crâne moderne fabriqué en 1993 en Allemagne par Hans-Jurgen Henn ont servi de témoins et de comparateurs.

Voici un résumé des résultats transmis oralement aux journalistes et aux propriétaires des crânes testés :

• Le crâne du British Muséum comporte des traces de meule. Il est donc considéré comme "post-colombien",
• Le crâne de Paris comporte des traces de meule. Il est donc considéré comme "post-colombien",
• Le crâne de la Smithsonian Institution de Washington  porte lui aussi des traces de meule. Il est donc considéré comme "post-colombien",
• Le crâne à la croix reliquaire a bien été fait à la main. Il a dû être taillé quelque temps avant ou peu après la conquête espagnole. Les dents ont été retouchées ainsi que le trou percé par les espagnols pour y introduire la croix.
• Concernant Max et Sha-Na-Ra : pas de résultats ! 

Sur le rapport de cette étude scientifique, aucune référence n'est faite sur ces 2 crânes, pourtant examinés en même temps que les autres. Il a été constaté que ces deux crânes, Max et Sha-Na-Ra, ne montraient aucune preuve de marques d'outils modernes et apparemment ces résultats ne correspondaient pas à leur programme... Ils ont donc refusé de publier ces résultats.

Ils ont même nié avoir réalisé de tels tests, même s'il existe des photographies qui existent pour le prouver, comme cette photo avec le chercheur de crâne de cristal, FR Nick Nocerino.

Depuis, les autorités du British Muséum refusent obstinément et sans raisons de livrer leurs conclusions.

Vous pouvez lire les témoignages visuels sur ces tests dans le livre "Le mystère des crânes de cristal" de Chris Morton et Ceri Louise Thomas qui étaient présents lors de ces recherches et tests sur ce groupe de crânes de cristal.

Nous avons peut-être là un exemple de déni des scientifiques devant ces objets improbables.

Juillet 2008 : de nouvelles analyses ont été effectuées au Louvre

De nouveaux tests sont effectués par le musée du Louvre sur le crâne de Paris, considéré comme un faux, le crâne n'est pas exposé ou alors à de rares occasions, comme en 2008 lors de la sortie du Film d'Indiana Jones ou plus récemment en 2019 à Champlitte (Haute-Saône), dans le cadre de l’exposition "Rêves Mexicains".

Juillet 2008 : de nouvelles analyses ont été effectuées à Londres.

Elles confirment ce que nous savions déjà à savoir que les crânes de cristal du British Museum à Londres et de la Smithsonian Institution à Washington sont datés du 19e siecle, comme celui du musée du Quai Branly à Paris, suite à la découverte de traces de meule de diamant.

L'étude a été publiée dans la revue Journal of Archaeological Science en juillet 2008.

Seraphim Institute (ISR-Institute / Seraphim Institut)

Les crânes de cristal semblent transférer l'énergie et les informations de l'un à l'autre, c'est comme utiliser une clé USB pour transférer des informations d'un ordinateur à un autre. Il a été constaté à plusieurs reprises que certaines des propriétés énergétiques des crânes de cristal plus anciens peuvent être transférées à des crânes contemporains et lorsqu'ils sont placés à proximité pendant un certain temps. L'Institut Seraphim, lors de tests en Allemagne, a documenté visuellement cet échange d'énergie entre les crânes de cristal à l'aide d'une caméra à photons. 

Karin Tag a ouvert le Seraphim Institute (ISR-Institute / Seraphim Institut) en 1996. Sa mission personnelle et l'un des mandats de l'institut est d'utiliser la recherche pour mieux comprendre l'énergie des crânes de cristal et comment cette énergie interagit avec le champ énergétique autour d'eux, y compris avec les humains ou d'autres crânes de cristal.

Depuis 2007, Karin Tag et le Seraphim Institute ont été impliqués dans une collaboration internationale avec de nombreux hôpitaux universitaires tout en étudiant les champs d'énergie humaine et l'étude de l'énergie de guérison. Une attention particulière a été portée aux organisations de naturopathie et aux domaines des méthodes alternatives de diagnostics utilisées en médecine vétérinaire, y compris la prise en charge des chevaux de sports olympiques au moyen de diagnostics photoniques.

Utilisant une caméra photonique spécialisée pour mesurer l'énergie et son mouvement, le Seraphim Institute a lancé une recherche exceptionnelle sur les crânes de cristal. Au cœur de ses investigations se trouve le propre crâne de cristal de l'Institut Seraphim nommé Corazon de Luz (en français : cœur de lumière). Le crâne de cristal Corazon de Luz avait été vendu au Seraphim Institute (ISR-Institute) par un intermédiaire agissant pour le compte d'une vieille famille brésilienne. Le lieu de découverte précis de ce crâne de cristal est inconnu, bien qu'il semble remonter à l'ancienne culture Inca (Pérou).

Posséder son propre crâne de cristal permet à l'Institut Seraphim d'explorer les phénomènes du crâne de cristal. La découverte probablement la plus étonnante, qui reste un mystère pour la science traditionnelle, est la preuve visuelle et physique que le poids d'un crâne de cristal peut varier en fonction de son "activité".

Il a été documenté que le poids du crâne de cristal, Corazon de Luz, peut subir des fluctuations de poids allant de 5 grammes à 800 grammes à tout moment.

Note de CrystalSkulls.com : ces mystérieuses fluctuations de poids ont également été expérimentées avec le crâne de cristal tibétain Amar, et avec certains autres crânes de cristal qui n'ont pas été étudiés par le Seraphim Institute.

Il est théorisé que ces fluctuations de poids peuvent être le résultat d'un transfert d'énergie ou d'informations. Cela signifie qu'un crâne de cristal peut absorber des énergies, comme celles des lieux sacrés, d'autres crânes de cristal... et qu'il peut transmettre de l'énergie.

Note de CrystalSkulls.com : bien qu'il s'agisse d'un phénomène réel et documenté, il n'est toujours pas pleinement explicable par nos moyens et notre niveau de compréhension scientifique actuels. Cela rappelle l'époque où l'électricité était encore un mystère; lorsque Thomas Edison a été interrogé à propos de l'électricité et de son fonctionnement, il aurait dit: "Je ne sais pas ce que c'est, mais c'est là, utilisons-la."

D'autres recherches menées par l'Institut Seraphim avec la caméra photon et d'autres équipements techniques ont documenté le champ de résonance électromagnétique ainsi que l'activité photonique du crâne de cristal. Cela peut fournir un indice sur les raisons pour lesquelles les gens reçoivent souvent des images, des visions et des messages en présence de crânes de cristal anciens ou activés (comme les crânes que je propose à la vente).

Les résultats des recherches de l'Institut Seraphim, qui comprend l'interactivité entre les célèbres crânes de Mitchell-Hedges et celui de Paris, ont été publiés dans le livre de Karin Tag (mai 2008) actuellement disponible mais uniquement en allemand.